L’amour, l’amitié
L’amour, l’amitié
Deux sentiments étrangers
Que l’on croit connaître
Au plus profond de nos êtres
Celui qui s’en apercevra
Celui qui n’en souffrira pas
Que l’on croit
Plus forts que tout
Mais qui nous noient
Au fond de nous
Dans cet océan d’instabilité
Que l’on appelle l’amitié
Celui qui s’en apercevra
Celui qui n’en souffrira pas
Ces sentiments qui nous font perdre la raison
Ne sont que des illusions
Un jour, ils naissent
Pleins de promesses
L’autre, se brisent
Laissant un vide
Celui qui s’en apercevra
Celui qui n’en souffrira pas
Ces sentiments noirs
Qui nous empêchent de vivre
Se transformant un jour
De l’amour pour toujours
Au plus grand désespoir
Celui qui s’en apercevra
Celui qui n’en souffrira pas
Alice CAMUS
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Dernière mise à jour : jeudi 28 novembre 2024